Sentant arriver le printemps,
Je suis sorti prendre l’air
Dans mon fauteuil-roulant
Afin de me faire bronzer.

Fixant mon regard au ciel,
J’ai vu un éclat de lumière,
Dans les yeux d’un oiseau,
Un genre de noir corbeau.

Il volait libre dans le ciel,
Il m’a fait cette réflexion.
Me disant d’un ton austère,
Et plein de provocation,

Je connais ta situation !
Tu voudrais bien me refaire !
Même me dérober mes ailes,
Pour t’envoler vers l’horizon,

Chose impossible a faire,
Même en faisant attention,
Tu mouras écrasée par terre,
Tu n’es pas un avion,

Ni non plus un oiseau.
Oublies tes illutions,
Tu as d’autre satisfaction,
D’écrire à l’ordinateur,

Ce que tu ressens sur ton cœur,
Choses gaies ou choses tristes,
Suivant ton état d’humeur,
Pour ceux que dans ton cœur subsistent

Un petit brin d’émotion,
Par tes poèmes passions,
Crée par inspiration,
Ou avec ton imagination,

Et tout l’amour de ton cœur
A l’aide de ton ordinacoeur
Ton plus fidèle compagnon.

Paquita

Belle lecture

Tu as su raison garder pour nous exprimer poétiquement ta réponse au provocateur.
HONORE

Merci Claudia y HONORE.

comme je suis sensible a tes mots
et a tes maux chère amie

je suis heureuse de te retrouver ici !

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

J’ai animer la journée des invalides dans ma ville
J’étais combler par la joie
L’invalide est celui qui n’a rien dans la tête
Un provocateur
le plaisir de te lire

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les années de disette dictent les poètes

on y ressent quelque sensation étrange, comme l'envie d'être, sans vouloir ne plus être?
comme une envie d'effacer le mauvais et garder le meilleur...


Alain

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c'est toujours quand il est parti qu'on se rend compte que le bonheur était là!

Merci Renée le plaisir est le miens de retrouver. Merci Abdelkader et Alain..