Lorsque tu comprendras Que tu es à toi-même ta propre peur Les pleurs cesseront avec la douleur Que les âmes mortes Ne reviennent jamais même en pleurs Les peines que tu rejoints Ne valent pas la hauteur de ton amour Promis par tant de bonheur
Les fleurs soudainement Ont la sueur de tes mains Et lorsque tu te souviendras Que tu n’es que ta demeure Ces bastions de craintes S’effondreront Comme le sable sous l’eau Lorsque tu comprendras //