Tu ne m’inspire plus et mon cœur perd la flamme,
Passant mes nuits à t’attendre victime d’insomnie,
Et cette ardeur que j’avais au seuil de mon âme,
Peu à peu va s’éteindre comme le fait une bougie.

Je n'entends plus hélas le susurrement de ta voix,
Ni la chaleur que tes mots dégagé à mon égard,
Mon soleil perd son éclat et mon ciel sa bleuté,
Mon âme est si triste ! je me sens abandonnée.

Tu m’as délaissée et mon cœur a ses blessures,
Veux-tu me les panser et coudre ses déchirures ?
Viens vite me consoler de ce mal que j’endure,
Je suis assez éprouvée et les maux s’accumulent.

Je veux te retrouver, dis-moi où tu te cages !
Je suis comblée avec toi, il faut que tu le saches,
Une implacable joie Muse me lie à ta présence,
Ma plume autant que moi baigne dans l’impatience,
Si tu reviens ce soir, quelle immense réjouissance !

Paquita

Un coeur qui perd sa flamme a bien froid,mais l'espoir de son retour laisse une lueur d'espoir dans votre coeur.
Moi je sais qu'il ne reviendra pas ce soir,il n'existe pas.
Merci de ce touchant partage.
Bleuet

Merci Emmanuelle de ton passage et ton commentaire

Je veux te retrouver, dis-moi où tu te cages !
magnifique image que ta plume sait si bien décrire; Merci Paquita
Charef

Merci Charef de ta visite et ton sympa commentaire...

j'espère qu'il lira ces mots et qu'il reviendra Paquita. Merci du partage

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Oh! oh! dit le grillon, je ne suis plus fâché ;
Il en coûte trop cher pour briller dans le monde.
Combien je vais aimer ma retraite profonde !
Pour vivre heureux, vivons caché.
Le grillon. Jean Pierre Claris de FLORIAN

Merci lili, bonne nuit

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poème verrouillé pour énième infraction au règlement
malgré de nombreux rappels


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